La Noix rime avec Marchat
Un point, c’est tout.
Les Toulonnais ont quitté Paris avec ce point de bonus défensif que nul ne peut dire s’il sera décisif au moment de faire les comptes. La production du RCT invite à penser que ce point est mérité. Le gouvernement du duo Serin-Parisse jusqu’au remplacement de ce dernier avait longtemps repoussé l’échéance d’un score que les Parisiens méritaient d’amplifier.
Au moins un autre acteur, qui n’était pas dans l’enceinte de Jean Bouin, a influé sur le score final. Il a pour nom Cédric Marchat et officiait en tant qu’arbitre vidéo de la rencontre. A deux reprises, son silence a frustré les supporters Parisiens, probablement à juste titre :
- En première mi-temps, le fait de ne pas appeler M. Minéry sur la possible obstruction vis à vis de Tala Gray qui a laissé Kolbe et Serin aller à l’essai. N’avait-il pas d’images sanctionnant la faute ?
- A la fin du match, le Stade effondre la mêlée et est justement sanctionné d’une pénalité que les Toulonnais jouent en touche : la trajectoire suivie par le ballon … et la caméra en dehors des limites du terrain n’aurait pas permis la conclusion du 3èmeessai Toulonnais.
Votre silence ou votre sieste (ou les deux), M. Marchat, vous donne droit à la Noix de la semaine.
Cordialement et rugbystiquement votre
Yvon Cauchois
Président des Amis du Stade français Paris